Everleight Vanina Kingston E/b]laliviel • Ange de la Manipulation • age • orientation sexuelle • Sang Bleu/rouge/argent • écrire son caractère ici en 5 lignes minimums Blablabla blablabla blablabla Blablabla

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William Shakespeare a dit un jour que les hommes étaient des oiseaux de passage et que le monde était un grand théâtre ou tout le monde devez jouez son rôle même le plus ingrats qui soit. Le point commun entre tout c’est rôle c’est qu’il sont tous court, trop court. On doit tous mourir un jour, nous le savons et la mort est inflexible dans ces arrêts c’est ça qui nous terrifie en réalité. Le temps à une emprise sur nous et c’est d’ailleurs pour cela que je le défie à chaque instant de ma pauvre existence. La mort à un bon côté quand on sait où regarder. Moi, je me définirais comme étant le fruit de l’accouplement de la passion et de la beauté mais ça comme tout le reste cela se fane, les plaisirs violents ont des fins violentes. Je ne crains pas la mort car la mort est une dette qu’on ne peux payer qu’une seule fois. Je crains plutôt la vie, ma vie pour être plus précise et je crois je vais finir par haïr ce que je crains le plus, mon passé. Je sais que c’est complètement stupide de haïr son passé car ce n’est que le préface du futur. La mort et facile c’est plus dur de vie surtout quand on a plusieurs vies …

Demeure des Spencer, New York, 23 juin 1797

« GEORGINA SPENCER ! DECENDEZ IMMEDIATEMENT !!! » hurla mon père à mon attention.
« J’ARRIVE , PAPA » lui répondis je en retour, énervée par son empressement si soudain.
Vêtue d’une simple robe empire blanche, sans ruban autour de ma taille et pieds nus, je dévala à toute vitesse les escaliers. Après une rapide révérence destinée à mon père, je m’approcha de lui . Il me pris et me dit :
« Georgie, vous avez dix sept ans maintenant et il est temps que vous songiez à votre avenir …. » me dit d’un air étrangement calme mon père.
« Que voulez vous dire, papa ? » demandai je, intriguée .
« Je veux dire qu’il est temps pour vous de vous marier … »
« Moi ? Mais pourquoi ? Je suis très bien toute seule et je compte bien le rester !!! »
« Allons , mon enfant, vous ne savez plus ce que vous dites »
« J’ai parfaitement conscience de ce que je dis père. »
« Ne vous méprenez pas Georgina. Votre mère et moi vous aimons énormément et vous le savez mais nous ne pouvons pas vous gardez sous notre toit éternellement, il est temps pour vous d’avoir votre demeure et d’avoir votre propre famille… »
« Je suis donc un tel poids pour vous ? »
« Non, ne déformez pas mes propos ma chère. Je veux assurer votre avenir … Nous sommes une des familles les plus fortunées de cette ville, vous n’aurez aucun de mal à trouver un mari … »
« Seul un amour profond pourra me convaincre de marier c’est pourquoi cela que je finirais vieille fille. »
« Arrêtez vos sottises, je vous pris. On ne se marie pas amour et vous le savez fort bien. Vous êtes une jeune femme accomplie et bien élevée. Vous conviendrais à tout les jeunes hommes ! »
« Accomplie et bien élevée ? Je le suis mais je ne peux pas ressembler à une personne que je ne suis pas. Je déteste me montrer taciturne . D’ailleurs , d’après ce que vous dites je n’ai pas le droit choisir mon futur époux. »
« Je sais qui vous êtes et aussi que vous ne pourrez jamais vivre dans la misère, vous êtes plus préoccupée par la forme de votre joli nez que par vos études et je sais aussi que vous seriez incapable de déshonorer votre famille en épousant un homme pauvre…. »
« En effet, mais cela ne change strictement rien, en ce qui me concerne. Je n’ épouserais pas un homme que je n’aime pas .
« Je crains que vous n’ayez pas le choix… »
« Pouvez être plus clair ? »
« Il se trouve que le commandant Fitzgerald cherche à marié son fils William et celui ci lui a fait part de tes multiples talents et qualités, son père ne serait pas contre un mariage et moi non plus . »
« William Fitzgerald ? Mariée à lui ? Jamais père. Je m’y refuse ! »
« Et pourrai je connaître les raisons de ce refus ? »
« Il est trop fier et arrogant ! »
« Vous avez tout a fait raison mais permettez moi de vous faire remarquer que vous l’êtes également. »
« Je ne représente donc rien à vos yeux ? »
« Mon enfant, vous devez vous y soumettre. Votre mère tient à ce mariage. »
« Je sais ce que vous attendez de moi mais mon bonheur et plus important pour moi que celui de ma mère. »
« Sachez que si vous éconduisez ce jeune homme vous resterez toujours ma fille chérie mais vous deviendrais une étrangère aux yeux de votre mère. Je veux le meilleur pour vous. Croyez moi si vous voulez Georgina, j’aurais préféré que vous un mariage d’amour mais William Fitzgerald vous offre tout le confort qu’une dame de votre rang a besoin. Prenez en considération sa demande Georgina. Vous ne pouvez décemment pas la refuser sans y avoir réfléchi … »